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KUNDALINI et PRANA

Photo du rédacteur: La fraternité des ravisLa fraternité des ravis

Le Prâna* réveille une force latente qu'on appelle KUNDALINI et qui se situe au niveau du coccyx. Quand cette énergie se libère et remonte le long de la colonne vertébrale, elle active les sept centres psychiques, qu'on appelle Ciakra ou Lotus, et produit peu à peu d'énormes effets en élargissant les capacités individuelles.

Lorsque Kundalini arrive au cerveau, il se marie avec Vishnu et cette union porte l'illumination, au réveil complet de la conscience, à la perfection.

Les effets bénéfiques de cette discipline sont très nombreux : elle permet de retrouver l'élasticité musculaire et la souplesse des articulations, symboles de jeunesse et de bien-être ; elle permet au corps et au système nerveux de se détendre, de se tonifier; elle permet enfin d'économiser l'énergie. On acquiert peu à peu un équilibre mental et physique et l'on parvient au calme intérieur tout en réussissant à vivre en paix avec soi-même, sans cesser d'être ouvert sur les autres et sur la vie.

On sent alors en soi et autour de soi s'épanouir un profond équilibre, entre le corps et l'esprit qui est source de bien-être, de santé, de paix et d'amour.


* Le Prâna est la force vitale qui est présente dans l'air et que nous respirons car nous l'absorbons et nous l'emmagasinons dans notre corps. La fonction de la respiration est donc très importante pour l'oxygénation. Si nous n'absorbons pas assez de Prâna, nos cellules se détériorent et notre corps est soumis à un vieillissement prématuré. Bien respirer, cela veut dire respirer profondément, longuement et calmement, en se servant du diaphragme qui est habituellement oublié. Les individus qui jouissent d'une forte vitalité sont ceux qui emmagasinent le plus de Prâna. En pratiquant les exercices de respiration, on apprend à ce concentrer, à discipliner ses instincts et à maitriser ses mouvements, parvenant ainsi à un équilibre intérieur et à un contrôle de la pensée et des émotions qui permettent de triompher plus facilement de l'angoisse et du sentiment d'aliénation, maux typique de notre époque.


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